SANTE

par - novembre 13, 2017

SEVRAGE TABAGIQUE DANS LE MONDE

Des solutions enfin disponibles 



 Les conséquences du tabagisme dans le monde depuis son avènement ne sont pas sans répercussion sur le développement de toutes les nations. Ces dérives ont fait pensés autrefois aux moyens et méthodologies à adopter pour l’éradication de ce phénomène qui a aboutis à la découverte des patchs, des médicaments, des inhalateurs et des gommes, efficaces dans le traitement de cette "maladie".


No smoking !!!



Après plusieurs recherches et études sur le tabac et son mode d'action dans l'organisme humain du consommateur, des chercheurs scientifiques ont pu démontrer que l'utilisation des patchs, des gommes, des inhalateurs, des médicaments et des cigarettes électroniques à nicotine peuvent mettre fin à la consommation du tabac chez un malade et ceci par un processus méthodique de traitement. C'est ce que confirme le docteur DODZON Berg pneumologue à la salpêtrière de Paris, quand il dit : << Arrêter de fumer, c'est simple, mais faire intervenir un processus long et méthodique. Pour le professeur, l'organisme très tôt habitué à la consommation du tabac devient à un certain moment dépendant de la nicotine, un constituant de la fumé inhaler qui se fait partie intégrante du cervelet après une à deux décennies par une mise en place de ses récepteurs. La Nicotine devient alors un besoin fondamental de cet organisme. Il recommande à ce stade de se gaver de nicotine par utilisation des patchs, des gommes ou même par utilisation de cigarette électronique tout en veillant sur l'évolution du poids du patient. << Fumer autant que vous voulez et n'essayez jamais d'arrêter >> confia t-il. Ainsi, les gommes ; les inhalateurs ; les cigarettes électroniques et les comprimés à sucer comme : la varénicline ; le bupropion ou zyban et autres, principalement utilisés par consommation démontrent leurs efficacités dans la réduction du plaisir de fumer, dans le soulagement rapide des symptômes de manque en agissant sur le système nerveux et limite le surpoids après l'arrêt de la consommation du tabac. Par contre, les patchs sont applicable sur une partie rasée du corps et dissipe directement la nicotine dans l'organisme du patient. À en croire le journal en ligne " Le Figaro", ces méthodes permettent de continuer à absorber de la nicotine sans pour autant inhaler le goudron, le monoxyde de carbone et les 4 000 produits chimiques toxiques contenus dans la fumée de cigarette. Il est à noter que l'usage de la combinaison de ces différents substituts nicotiniques est plus efficace pour le traitement. C'est en raison de tout cela que le Docteur Ivan Berlin, médecin pharmacologue-addictologue à l' AP-HP confirme :
<< Inhalateur, spray buccal, comprimé ou gomme ont tous la même efficacité. C'est au patient de choisir les substituts nicotiniques qui lui convient le mieux. >>

 Une méthode quasi inoppérant

Cette première méthode relève du dynamisme de l'état, de sa participation et de celle du patient puis qu'elle nécessite un financement assez important et semble ne pas être efficace dans l’éradication de ce fléau dans toutes les régions du monde faute de sa particularité dans le traitement. Mais le docteur revient sur ses pas pour convoquer la responsabilité des autorités gouvernementales de tous les pays à accompagner l'OMS, dans la réalisation de ses rêves au lieu de se laisser influencées par les usines de production de ces poisons. L'analyse et la correction des causes fondamentales du fléau doivent être de mise afin d'opter pour un monde nouveau.

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