Dopage et Travail : Des risques sanitaires?

par - février 01, 2018

Dopage et Travail

 Des risques sanitaires en sont étroitement liés




Des risques sanitaires en sont étroitement liés!


Satisfaire la demande de la clientèle est devenue chose importante dans les structures de Marketing des entreprises au point où certains acteurs se livrent a des comportements mal sains pour pouvoir assumer cette tâche qui leur revient. Cette façon d'arranger les affaires ne passe pas cependant sans traîner les concernées dans un état de victime, dos au mur.

Un actif consommant de psychotropes.

 Les actifs consomment de plus en plus de substances psychotropes (médicaments, alcool, tabac, cannabis, cocaïne), légales et illégales, mais la question du lien avec le travail n'est jamais posée. Vingt millions d'actifs en poste ou au chômage (sur 29 millions, selon l'Insee) sont concernés, soulignait en 2016 la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca). Ces actifs évoquent plusieurs raisons pour se justifier. Si pour certains l'utilisation de ces produits permet de tenir le stress au travail, l'anxiété, les situations de maltraitance, l'hyperactivité convoquée par le travail, soit pour dormir ou récupérer de l'énergie, d'autres pensent que cela est une alternative pour se construire une identité professionnelle. 

Illustration des raisons qui poussent les actifs à aller vers le dopage!

Ce que déplore sans doute Gladys Lutz, chercheuse présidant l'association Addictologie et travail (Additra) qui explique qu'il ne s'agit pas de consommation pour se mettre en marge, mais pour rester dans le match. Pour elle, la question du lien entre organisation du travail et consommation de psychotropes " devrait être une question d'urgence. Chaque jour, elle constate des "épuisements neurophysiologiques" de patients dont les fonctions intellectuelles sont parfois "définitivement atteintes de plus en plus dans le rang de très hauts cadres notamment "des femmes" et cela devient très inquiétant. En plus de ses virages constatés, ils existent encore certains types de cancer liés a l'hyperactivité professionnelle. 


Les spécialistes se désolent des conséquences du mal!

" Lorsque l'infirmer ou l’artisan surchargé doit tenir sa fidélité auprès des clients, il organise ainsi des veillées de nuit par consommation de substance psychotropes et autres s'exposant à 11 autres types de cancer bien déterminés selon une étude de l'Université chinoise Sichuan à Chengdu " témoigne un docteur Cancérologue de Paris. Cette méta-analyse publiée le 8 janvier 2018 dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prévention couvrant 61 anciennes études dont 114 628 cas de cancer et 3,9 millions de participants en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et en Asie, a démontrée un lien probable entre le dopage, les travails de nuit et les risques de cancer. 

Ces chercheurs, ont pu démontrer que " Le travail de nuit est lié à un risque accru de cancers du sein, gastro-intestinal et de la peau chez les femmes". Constat qui n'inflige aucune doute du fait des produits psychotropes mise en jeu pour résister lors du travail. Au nombre des types de cancer identifiés chez les patients, on peut dénombrer les cancers du sein, le cancer gastro-intestinal et celui de la peau chez les femmes. Les cancers hormonaux, le cancer du système digestif (estomac, œsophage, foie, pancréas, côlon-rectum) et celui du poumon en sont encore d'autres paramètres de ces mauvais comportements. 

Alerte!!!
Cependant, les auteurs de cette recherche soulignent une nécessité de réduction des durées de travail de nuit, de la consommation des substances psychotropes afin de s'épargner de ce loup prêt à dévorer. "Les résultats de cette étude suggèrent la nécessité de programmes de protection de la santé des travailleurs surexploites et ceux travaillant la nuit, avec des examens médicaux réguliers", dixit un des leurs. " Le travail de nuit doit être considéré comme un facteur de risque du cancer chez la femme " ajouta tel avant de conclut en recommandant des examens médicaux et dépistages plus réguliers.

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